Mon premier fantasme
6 min readJ’habitais une maison à Pétion-ville à cette époque, je vivais avec ma tante, une servante, et un chat.
Ma mère et mon père vivaient au Canada et rentraient chaque année pour m’emmener à Royal Décaméron.
J’avais 15 ans et j’étais la plus jolie fille du quartier, dans mon entourage se trouvait pas mal de prétendants mais, j’ai toujours su que c’était mes fesses qui les fascinaient.
J’avais les fesses énormes, le ventre plat, en somme, une architecture corporelle de « Koka kola ».
Je portais souvent des jupes car, je n’aimais pas trop exposer mon corps. J’étais remarquable, zuzu et prétentieuse, je gardais ma dignité, j’avais de la classe et j’étais un peu bavarde. J’aimais beaucoup lire les textes érotiques d’Andro puisque leurs histoires excitantes me faisaient mouillées. J’étais populaire sur Instagram et ce fut un plaisir de follow « Zuzugirl » car elle était ma zuzu préférée…
Comme d’habitude, ce jeune homme un peu plus grand que moi qui venait souvent à la maison pour se doucher, puisqu’il n’avait pas encore de l’eau chez lui. Ce dernier habitait une maison juste en face de la mienne et je passais la plupart de mon temps à le regarder, sa beauté attirait totalement ma curiosité, ses abdos encore plus, il était dévoué et d’un sourire innocent.
–Wow!
En fait, il était spécial, rien qu’en le voyant tout mon corps se mettait à frémir, j’avais l’impression de m’épanouir devant lui, mais il était souvent occupé et ne faisait pas vraiment attention à moi, malgré tout je n’avais pas baissé les bras. Chaque matin mon chauffeur de taxi passait me prendre pour me déposer à l’école, juste après mon petit déj…
À cette époque j’étais en seconde à l’école « CCF »…J’étais la plus brillante de ma classe même si je passais la plupart de mon temps en extase à admirer le jeune homme, mais je faisais de mon mieux aussi pour rester concentrée.
Un jour, en sortant de l’école après une journée de danse avec mes amies à trois heures et demie environ le chauffeur passa, les services de la servante finissaient aussi à cette heure et ma tante qui était du genre « levanjil » se rendait déjà à la montagne pour prier et j’étais seule à la maison !
J’ai pris mon bain, comme d’habitude, j’ai lavé d’abord ma partie intime doucement car c’était très sensible !
Aussitôt fini ma baignade
Puff ! « J’oubliai la serviette »
Toute nue j’ai couru dans ma chambre et je fus surprise de le voir qui fouinait dans ma chambre
« Très étonnant » pour une fille comme moi c’était la première fois qu’un garçon voyait ma nudité…
– ey ti gason sa wap fè nan chan’m mwen ?
Dis-je d’un air très zuzu.
Il n’avait que la serviette qui couvrait ses couilles, il était tout mouillé, on dirait qu’il avait fini de se doucher. Mais ce qui m’intriguait le plus; Pourquoi était-il dans ma chambre ?
Je ne savais pas quoi faire.
J’étais tout excitée de le voir comme ça, je fus tellement surprise que j’oubliai même que j’étais nue.
Soudainement !!!
Son sexe commençait à s’étendre discrètement.
Oh shit!! Il est en érection …et s’est mis à avancer vers moi, moi qui n’avais jamais vu une chose pareille, tout mon corps se mettait à frissonner
– ti nèg ret kote’w ye a tande
Dis-je d’une voix très sensuelle
J’étais extrêmement timide, mais je me sentais déjà connecter à lui…
ti gason an pran’m li kole kò’m ak kò’l epi li komanse bo’m
– dat mte anvi sa epi se kounya « Makak » lap wè sa !
Nous les zuzus quand nous sommes amoureuses d’un gars puis, il ne daigne même pas de le voir malgré nos efforts ! Alors là on le surnomme : « Makak ».
J’étais totalement hors de moi, comme si ses lèvres avaient quelques choses de magique ou était-ce la façon dont il m’a embrassé, cette sensation me mettait dans tous mes états, je tremblais des jambes, je perdais ma force et à ce moment-là il m’a soulevé et m’a mis sur le lit, il a écarté ainsi ma jambe. M’ap fè kapris map eseye di’l
Non…!!! Non…!!!
Mpoko fin pale ti nèg la gentan ap
lanbe krèk mwen ak lang li , Wouuyyy sansasyon an dous, je’m vire lanvè, ti nèg sa vin pou mwen jezi ! kòman li fè fe’l dous konsa ! San atann la’l pase lang li nan « clitoris » a
Il a mis sa langue où il fallait !
Se lè sa mpase nan alsiyis nivo siperye
– Ssayyy…ooh … Jésus !!
M’oblije bay alsiyis yo trè zuzu pou’l pa wè’m se yon fanm ki stipidè, ti bray la byen netwaye anba’m. Sans plus attendre, j’ai voulu qu’il me baise, j’ai toujours été la petite fille vierge, je voulais enfin faire cette expérience qui me tentait.
*Soudainement !!
Je fermai mes jambes car je craignais de briser mon hymen, il plongea son regard dans le mien, un regard perçant, comme s’il me suppliait puis je me suis ouverte à lui. Il me caressa le ventre et à ce là, j’ai compris qu’il allait s’introduire en moi, et c’était ma toute première fois mais, surpris me paraît-il, il ne le savait pas et j’ai mis ma main sur sa poitrine…
– Qu’est-ce qu’il y a sarah ?me dit-il d’une voix très douce…
– je …je…suis…!
J’avais du mal à répondre. Soudainement, il avait tout compris. Il me regardait dans les yeux comme si j’étais la seule personne à ses yeux, comme si j’étais spéciale…
Il m’embrassa et me pénétra de toute ses forces succédant d’une tendresse rassurante, je luis mordit fort ses lèvres et je gémissais de douleur, j’étais tout excitée et vraiment mouillée et il pouvait sentir la chaleur que dégageait ma chatte excitée …
waw! Ti nèg la anndan’m…Mtrò zuzu pou’m rele anmweyy, mbay soupi yo nan ke’m…
Je sentais sa verge énorme en moi, aussitôt qu’il brisa l’hymen , j’ai senti chaque centimètre de sa bite qui déchirait ma chatte serrée , j’ai tout encaissé même si la douleur était atroce mais , je l’aimais et j’étais prête à tout lui donner, tout mon corps était à lui… fason’l fè’l la , fason li antre nan mwen se komsi’l te prepare pou mwen…
De missionnaire à levrette :
– Pou premye fwa’m, mgentan ap pran « backshot ».
La majorité des hommes aiment cette position pour une raison ou pour une autre, pour une zuzu comme moi je connaissais déjà toutes les positions du « kamasutra »
J’étais sadique;
lè ti jenòm nan fi’n vire’m nan tout chay bòbòt la al jwenn li tout bouboun li nan men’l…
Aussi pervers que fut, mon esprit d’ados je le regardais en disant:
– please pa trete’m tankou ti se’w fini ave’m….
Dis-je d’une voix de pitié
Il me fixa et mordit ses lèvres il toucha mes fesses d’une façon féroce :
– ayyy!
Il m’encula de force, me prends par les cheveux et me tapa.
J’hurlais à chaque pénétration, c’était un plaisir pour moi de supporter toutes ces douleurs qu’il m’infligeait…
Chak kout sapatan’n kò’m vibre, li make tout po’m ak pla men’l, li fe’m vibre, li fe’m sansib, li manyen manb mwen, je savais qu’il allait me défoncer et j’ai aimé la façon dont il s’en est pris, la façon dont il m’a fait l’amour, je lui ai donné mon corps volontiers sans regret , il était le seul à pouvoir satisfaire mon fantasme .– il finit par jouir sur ma chatte j’étais contente, pas parce que j’ai eu ce que je voulais mais parce que c’est lui qui m’a diverger …
Il plongea son regard dans le mien et me dit:
– je t’aime Sarah !
– je t’aime encore plus makak ! Lui dis-je avec un sourire
je ne pouvais attendre demain pour expliquer cèle à mes amies.
Telle fut mon premier fantasme…