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De l’instant du sourire

(De Horley Houssenda Marc

À T. A. T. Lazarre)

Oh, la miséricorde m’est accordée,  

Sur une chaise fendue, un cigare enflammé,  

Une tête vibrante d’idées qui te contemple  

Et te voit dans la fulgurance,  

Se contente de goûter l’extase du bonheur partagé.  

Ma maladie s’est tue,  

Et l’amour me guérit des fautes anciennes.  

À toi, feu vivant d’une passion infinie,  

Je dédie ces mélodies.  

Toi qui dis : « Je ne suis pas une erreur de parcours »,  

Je t’offre ces paroles enfiévrées,  

Par le lien brûlant qui nous lie  

À l’amitié et à la joie prononcée.  

Je suis assis sur une chaise qui brûle,  

Le cigare s’éteint,  

Mes doigts s’enflamment,  

Ma peau devient bleue.  

Un chapeau pèse sur ma tête,  

Mes yeux s’endettent.  

Pourtant, un sourire persiste sur mes lèvres —  

Le bonheur est un bien  

Que même la douleur ne retient.

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