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John Caller S. DURAND, figure attrayante d’un jeune entrepreneur

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John Caller S. DURAND

À tout juste 24 ans, ce jeune entrepreneur a déjà monté une grande entreprise très attrayante qu’il nomme « Stravy-D Fashion » et il a lancé sa propre marque avec sa collection qu’il a nommée  ‘’PPM’’. Le Quotidien News trace le portrait de ce chef d’entreprise et vous fait part de ses préoccupations qu’il formule d’une manière très innovante.

Né à Port-au-Prince, à l’Hôpital universitaire d’État d’Haïti (HUEH), John Caller Stravensky Durand n’a jamais cessé de conquérir une place dans la sphère entrepreneuriale haïtienne, ce qui l’expose pourtant à de grands risques. Businessman, entrepreneur, virtuose des idées très claires et innovantes, l’homme d’affaires de 24 ans, après son parcours scolaire classique, a fait des études en Technique d’Informatique à l’Université Pragmatique d’Haïti. Puis, après avoir monté sa collection « PPM & Hector Collection » avec le jeune Windsor Bailly Hector, le jeune léoganais a créé sa propre marque et son entreprise Stravy-D Fashion & Electronics, cette fois avec Reeky Louis grâce aux nombreux cours en ligne qu’il a suivis sur l’entrepreneuriat. Ainsi, les deux protagonistes de cette entreprise proposent des vêtements pour les deux sexes (filles et garçons), lunettes de soleil, rouges à lèvres, écouteurs Bluetooth et smart montres, etc.

Ça donne un peu plus de liberté et crée de l’espace. C’est en grande partie ce qu’il aime dans ce champ d’activité, qui lui donne la chance de s’épanouir personnellement par le développement de compétences dans des domaines similaires à ce qu’il entreprend! Comme il le dit si bien, l’entrepreneuriat est la partie la plus importante de sa vie pour ne pas dire sa vie même, car cela lui permet d’en apprendre beaucoup sur lui-même et ses proches. Et quand on lui demande ce qu’il aime particulièrement dans cette activité, John Caller, ce jeune homme dynamique et autonome, nous dit qu’il a toujours aimé mener des projets du début à la fin, en ayant une totale liberté d’action même s’il aime aussi collaborer. Vous l’avez compris, il n’aime pas rouler seul ! C’est donc un jeune homme qui aime mettre la main sur la pâte. John Caler est un jeune créatif, qui a réussi à trouver des solutions simples à ses problèmes. Et le plus impressionnant dans tout cela, c’est qu’il a réussi à se démarquer dans plusieurs domaines très différents, de l’informatique à la gestion d’événements, en passant par d’autres choses.

Le jeune entrepreneur a pris conscience du risque que cela lui faisait courir car selon ce qu’il croit : « L’entrepreneuriat est un risque en d’autres termes ». La vie ne vous donne rien si vous ne recherchez pas le risque. Il aura toujours des doutes, mais la meilleure chose est ce qui  constitue votre capacité et ce que vous voulez exactement », nous dit-il. En revanche, cet homme d’affaires nous avoue que sa réussite est due à de nombreux sacrifices et de nombreuses nuits blanches pour définir les stratégies dont il a besoin pour avancer. Entre autres, le marketing est le point fort de la vulgarisation de ses produits. Cependant, John Caller nous dit aussi qu’il passe beaucoup de temps avec ses amis, et ce sont les amis qui l’aident le plus en terme de marketing et ses ambassadeurs comme Pragma, Saïmé D’Haïti pour  ne citer que quelques-uns qui apportent quelque chose de nouveau au développement de son entreprise. Cependant, l’homme d’affaires ne consacre son temps qu’à cela. Il lit aussi et est très intéressé par le monde du cinéma, il nous invite également à jeter un œil à cette série intitulée Silicon Valley.

Actionnaire majoritaire, associé, gérant et président, John Caller tient un rôle clé dans son entreprise. Beaucoup de responsabilités pour un si jeune homme. Parlons par exemple de la création du concept qui, selon lui, ne s’est pas produite en un jour. Cela a commencé bien sûr par une étude de marché, puis par le démarrage en douceur de son activité. Par la rédaction des statuts et les et les déclarations comme société simple. Malgré la difficulté de mener tous ses projets, John Caller est animé par sa passion : « J’aime tellement plus ce que je fais que j’endure les sacrifices que cela implique ». Il encourage aussi fortement les jeunes de son âge à créer une entreprise. Encore faut-il être prêt à tout donner pour son projet, à travailler sept jours sur sept et à en faire une priorité. En bref, l’expérience de John Caller S. Durand reflète parfaitement celle de tous les jeunes entrepreneurs.

Ansky Hilaire

anskyhil22@gmail.com

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