L’opposition politique haïtienne de façade

L’opposition politique a toujours été une source de préoccupation pour plus d’un. Une des choses qu’on la reproche incessamment c’est sa diversité. Son incapacité à dégager une harmonie capable de crédibiliser ses actions. Durant trois ans de résistance entre guillemet contre le chef de l’État, Jovenel Moïse, l’opposition va de scandales en scandales.

Le verre a renversé. Ces derniers temps, le conflit entre leaders de ce corps politique qui devrait être un, a éclaboussé davantage l’image de cette opposition dite unifier. Moïse Jean-Charles a pété la plaie avant que des personnalités, et pas des moindres, de l’opposition viennent enclaver la malingre.

S’il existe une chose que l’opposition insiste le plus là-dessus, c’est de ne pas traverser les cadavres des victimes des différents massacres et des manifestations. Elle a toujours juré de ne pas cohabiter avec Jovenel Moïse bien que des membres de cette même opposition en disent le contraire. Selon ces leaders, les jusqu’au boutistes font semblant. En réalité, ils traitent avec le président en dehors des feux des caméras.

La manière dont le mouvement baptisé « pays lock » a été stoppé interpellait les observateurs avisés. L’absence à répétition des têtes de pont dans les manifestations, leur refus systématique d’endosser les manifestations à destination l’ambassade américaine en dit long.

Fort des accusations venant des politiques dissidents, l’opposition dite radicale serait un client du pouvoir qui profitait des mouvements populaires pour soutirer de fortes sommes de l’exécutif pendant que des militants se font massacrer par les agents de l’ordre ou d’autres civils armés. À en croire le politique, des prétendus leaders qui se trouvent toujours à l’avant-poste, utilisaient le sang populaire pour obtenir de fortes sommes.

De plus en plus des leaders de l’opposition font défection. Une déperdition curieusement suspecte. En attendant que les horizons s’éclaircissent, il faut saluer le professionnalisme de Jovenel Moise qui met l’opposition en mille éclats ou encenser la bonne foi de ces leaders qui lèvent le voile sur cette pratique sanguinaire de corruption au niveau de l’opposition. Trois ans de torture que pour s’enrichir, un crime contre l’humanité. Le secteur démocratique et populaire en particulier est désormais sur le banc des accusés. Et, le débat est relancé.

Le verre a renversé. Ces derniers temps, le conflit entre leaders de ce corps politique qui devrait être un, a éclaboussé davantage l’image de cette opposition dite unifier. Moïse Jean-Charles a pété la plaie avant que des personnalités, et pas des moindres, de l’opposition viennent enclaver la malingre.

S’il existe une chose que l’opposition insiste le plus là-dessus, c’est de ne pas traverser les cadavres des victimes des différents massacres et des manifestations. Elle a toujours juré de ne pas cohabiter avec Jovenel Moïse bien que des membres de cette même opposition en disent le contraire. Selon ces leaders, les jusqu’au boutistes font semblant. En réalité, ils traitent avec le président en dehors des feux des caméras.

La manière dont le mouvement baptisé « pays lock » a été stoppé interpellait les observateurs avisés. L’absence à répétition des têtes de pont dans les manifestations, leur refus systématique d’endosser les manifestations à destination l’ambassade américaine en dit long.

Fort des accusations venant des politiques dissidents, l’opposition dite radicale serait un client du pouvoir qui profitait des mouvements populaires pour soutirer de fortes sommes de l’exécutif pendant que des militants se font massacrer par les agents de l’ordre ou d’autres civils armés. À en croire le politique, des prétendus leaders qui se trouvent toujours à l’avant-poste, utilisaient le sang populaire pour obtenir de fortes sommes.

De plus en plus des leaders de l’opposition font défection. Une déperdition curieusement suspecte. En attendant que les horizons s’éclaircissent, il faut saluer le professionnalisme de Jovenel Moise qui met l’opposition en mille éclats ou encenser la bonne foi de ces leaders qui lèvent le voile sur cette pratique sanguinaire de corruption au niveau de l’opposition. Trois ans de torture que pour s’enrichir, un crime contre l’humanité. Le secteur démocratique et populaire en particulier est désormais sur le banc des accusés. Et, le débat est relancé.