J’aimerais tant te dire que
2 min readLa nuit je suis seule avec mon silence
J’ai peur, j’ai mal, je suis blessée.
Je me cache de la violence
tant de loi que je voudrais transgresser
Je me tourbillonne dans Cette dolence
Je suis forcée d’acquiescer
Je sens mon cœur en déperlance
J’ai mis Tant de temps à le rapiécer
J’ai tenu tête à cette insolence
Je suis toute oppressée
Appelle une ambulance
Mon Cœur s’est Compressé
Je ne suis pas aussi forte que tu le penses
J’ai mes faiblesses, et j’ai tout encaissé
Pardonne mon Innocence
Mon âme s’est affaissée
Je me souviens
Oui, Je me souviens de ce jour
Où dans ma vie tout a changé
Les bougies sous leurs abat-jours
Donnaient une couleur orangée
D’un coup par un simple regard
Dans tes yeux j’ai pu voyager
Saisis, Ayant l’air hagard
Autour de nous tout s’est ennuagé
Et Là mes yeux n’ont vu que toi
Une version réimagée
Du monde cruel de la vie
Qui futile me paraissait
En toi j’ai pris goût de vie
Dans mes cheveux, le vent caressait
Et ta voix, douce mélodie
De mon âme, s’émerveillait
Réchauffant mon cœur refroidi
De mon sommeil, me réveillais
Mon corps brûlant, frémissant
Sous l’effet d’un si doux contact
Sur mes lèvres, goût de la passion
Fraicheur, chaleur, douce peur
Grand mélange de sensations
Qui m’apportait le vrai bonheur
Et qui en somme était un art
Un tableau de vives couleurs
De la terre, si grand écart
Je découvrais le paradis
Univers idéal-parfait
Avec toi j’y voyagais