Les activités à l’Hôpital Gérérale sont paralysées en partie depuis lundi 16 septembre 2019
2 min readL’Hôpital de l’Université d’État d’Haïti (HUEH) est considérablement impacté par les mouvements de protestations dans les différentes artères de la capitale du pays depuis le lundi 16 septembre, a constaté la rédaction de Le Quotidien News . Plusieurs services de l’hôpital peinent à fonctionner ordinairement car les personnels de soutien sont ont été quasi absents de leur poste.
Pendant que les cas d’urgence des blessés par balles et accidents continuent d’augmenter depuis plusieurs jours au service d’urgence de l’Hôpital de l’Université d’État d’Haïti (HUEH), plusieurs des services de l’hôpital ne fonctionnent pas à cause des difficultés que rencontrent les personnels de services particulièrement le personnel de soutien qui ne s’est pas présenté à son poste. La situation qui a handicapé le bon fonctionnent de l’établissement médical est due en raison des mouvements sociaux liés à la pénurie de carburant sur le marché local depuis lundi 16 septembre 2019, d’après le directeur médicale l’HUEH, Dr Jacques Pierre Pierre.
« Durant ces deux derniers jours le nombre d’employés s’est réduit à 40 %. Et Parallèlement le nombre de patient s’est augmenté », a avoué le Dr Jacques qui dit avoir été informé que les 16 lits du services d’urgence de l’orthopédie étaient tous remplis dans la journée du Mardi 17 septembre ».
Beaucoup d’obligations, cependant l’Hôpital de l’Université d’État d’Haïti (HUEH) fait face a de sérieux problèmes internes, selon le Directeur médical . De ce fait , il a confié que pour fonctionner les responbles de l’établissement sont obligés de solliciter de l’aide auprès des Organisations Non Gouvernementales (ONG).
À cet effet, le Dr Jacques Pierre Pierre appelle les autorités à se pencher un peu plus vers la technique et non vers la politique afin de pallier les différents maux dont souffre l’hôpital.
Durant ces 3 derniers jours de protestations, plusieurs autres établissement Publiques ou/et privés, dont des institutions étatiques ont également fonctionné au ralenti à cause les mouvement sociaux relatifs à la rareté de carburant. Il reste à espérer que les autorités, au plus haute sphère de l’État central prennent les décisions nécessaires à la résolution de cette crise qui engouffre le pays dans la misère.